Hacher fin le persil, laver, égoutter et réserver dans un grand bol.
Ciseler la menthe fraîche et la mélanger au persil.
Hacher fin les tomates et ciseler l’oignon vert. Verser dans ce même grand
bol. Y ajouter le boulghour.
Mélanger tous les ingrédients en versant petit à petit le jus de citron,
l’huile d’olive, le sel, la cannelle et le poivre selon le goût.
On est assez loin de ce qu'on nous sert ici sous le nom de Taboulé. Et oui, la couleur normale
d'un tabouleh est bien le vert. Bien que
la recette d'origine parlait de trempage du boulghour (pas du couscous), je
pense que le temps et le jus de tomate suffisent pour le faire gonfler.
On est surtout loin de la vision du tabouleh à laquelle nous a contraint
l'industrie alimentaire. Pourquoi appeler Tabouleh ce qui n'en est pas ?
Auraient-ils honte de ce qu'ils produisent ? De la salade de couscous… tout
simplement parce que le couscous est le moins cher des ingrédients.