Un banc pour les bannis. Pau comme le symptôme du pourrissement d’une société. Certaines villes les éloignent avec des clochardifuges à l’odeur nauséabonde. À Pau (et ailleurs) on leur rend la vie impossible. Pour les empêcher de dormir on transforme les bancs en casiers à assis.

Ça manque vraiment de courage. Allons, que diantre, ayez le courage d’aller au bout de vos pensées : Inventez le clochardicide . Un banc, la république, complexe.